vendredi 23 novembre 2007

D’après les textes de Christophe Tarkos Anachronisme, Caisses, Le signe =, Ma langue, Editions POL et Al DAnte

Interprétation Laurent Charpentier
Dispositif Mirabelle Rousseau
Dramaturgie Muriel Malguy
Lumières Laïs Foulc
Vidéo Boris Nordmann
Son Frédéric Reinhart
Régie Générale Esther Silber et Aurélien Lardeau

Durée du spectacle 1 heure

Production
Compagnie T.O.C., Jeune Théâtre National, Collectif 12
Avec le soutien de la DMDTS via l’Aide au Compagnonnage

Répétitions
Mai et juin 2007
Collectif 12 de Mantes la jolie
Jeune Théâtre National

Représentations
Festival Berthier ’07
Odéon théâtre de l’Europe, Paris, juin 2007
Théâtre de la Vignette, Montpellier, octobre 2007

jeudi 22 novembre 2007




Le mot mot ment. Le mot mot ne veut rien dire. Pas un mot ne
se met à être. Pour qu’un mot existe il faudrait qu’il veuille dire quelque chose. Un être pourrait être désigné. Un mot pourrait vouloir dire quelque chose. Un mot désignerait un être. Le mot saurait faire le mot mot. Le mot mot n’existe pas.
Le mot mot ment Christophe Tarkos

Bloc [blok] n. m. – XIIIe ; moy.néerl. bloc «tronc abattu». Masse solide et pesante constituée d’un seul morceau.
Définition du petit Robert

Il n’y a pas d’autre langue que la langue. Il faudra essayer d’entrer. Au seuil un ennui enlève la force. Il n’y a pas d’autre langue que la langue, il faudra entrer à l’intérieur, on a toujours été à l’intérieur, il n’y a pas à entrer à l’intérieur, on est dedans, y aura-t-il question de sortir du ventre ou faudra-t-il toujours essayer de rester ainsi à l’intérieur du ventre, il n’y a pas d’autre langue et c’est cette langue qu’il ne faut que porter avec soi comme l’on porte de rester dans le ventre parce qu’il n’est jamais question de sortir du ventre et la langue a beau bouger elle remue et se tourne sur elle même.
Christophe Tarkos, Le Signe =, 1999




Sur le texte et le spectacle

« La pensée se fait dans la bouche ». On pourrait appliquer cette formule de Tristan Tzara à l'écriture de Christophe Tarkos. Chez Tarkos, il y a « pâte-mot » : le matériau, c'est la langue. Les mots progressent rapidement sur la page, une ligne avance, se répète, tourne en rond, change de rythme, de direction. La poésie de Tarkos remplit l’oreille.
Ce flux de mots répond à l’afflux des choses et des objets, que l’écriture, sérielle et accumulative, s’épuise à inventorier. Les objets les plus communs sont décrits concrètement par répétition, approximation, mastication, rumination. L’écriture cherche, déplace, distord et épuise le sens et la valeur des mots et des choses.

Après avoir monté des textes de R.Vitrac, A.Artaud, K.Schwitters, G.Stein, les textes de Tarkos s'inscrivent naturellement dans ma recherche théâtrale sur la forme de la langue. Nous choisissons des textes qui traitent du mot, de l'écriture -essentiellement dans la dernière période de l'oeuvre : Anachronisme, Caisses, Le signe =, Ma langue. Nous donnons à entendre ces textes à la table, dans un dispositif conférencier qui met la parole au centre du spectacle.

Cette écriture s’inscrit dans la lignée de la poésie sonore, et appelle un ‘Théâtre de la parole’ dans lequel La pensée est matière. Tarkos a d’ailleurs toujours associé l’écriture de ces textes à leur lecture, réalisant de nombreuses performances et improvisations publiques. Dans notre spectacle, la table est sonorisée et le son de la voix de l’acteur traité avec différents filtres et effets. Derrière l’acteur à la table, un écran de sur lequel on projette des typographies, des graphismes et des textes qui donnent à voir, en même temps qu’on les entend, ces ‘objets verbaux’.

On a dit de Tarkos qu’il semblait « se jeter dans ses phrases ». On remarquera que réciproquement, ses textes happent et aspirent le lecteur auditeur ; c’est pourquoi, pour rendre compte du formidable mouvement qui agite cette écriture, nous mettons en place un dispositif d’immersion par l’image et par le son. La table et l’écran deviennent une surface totale de projection –carrée, le dispositif sonore et visuel fait entrer le spectateur DANS la langue.




Qui est Christophe Tarkos ?
Christophe Tarkos est né en 1963 et mort en 2004. Publié chez AL Dante puis POL, Il écrit plus de 25 ouvrages entre 1995 et 2004 dont Processe en 2003, Anachronisme en 2001, Ma langue et PAN en 2000, le Signe =, L’argent et Cage en 1999, La valeur sublime, Caisses et le Bâton en 1998. Il participe à la création de plusieurs revues : Poèzie Prolétèr, FACIAL et Quaderno. Il écrit dans les revues Java, Nioques et Action Poétique. L’écriture de Christophe Tarkos procède par répétition, rumination dans ce qu’il a appelé une « mastication verbale ». La matérialité de sa langue, de la « pâte mot » placent Tarkos dans la lignée de Beckett et G. Stein. Performeur, improvisateur, Tarkos lit ces textes lors de nombreuses représentations publiques.






Barthes : Le bruissement de la langue

La parole est irréversible, telle est sa fatalité. Ce qui a été dit ne peut se reprendre, sauf à s’augmenter : corriger, c’est, ici, bizarrement, ajouter. En parlant, je ne puis gommer, effacer, annuler ; tout ce que je puis faire, c’est de dire « j’annule, j’efface, je rectifie », bref de parler encore. Cette très singulière annulation par ajout, je l’appellerai « bredouillement ». Le bredouillement est un message deux fois manqué : d’une part on le comprend mal, mais d’autre part, avec effort, on le comprend tout de même ; il n’est vraiment ni dans la langue ni hors d’elle : c’est un bruit de langage comparable à la suite des coups par lesquels un moteur fait entendre qu’il est mal en point ; tel est précisément le sens de la ratée, signe sonore d’un échec qui se profile dans le fonctionnement de l’objet. Le bredouillement (du moteur ou du sujet), c’est en somme une peur : j’ai peur que la marche vienne à s’arrêter.





Nos parcours…


Laurent Charpentier, comédien
est diplômé du Conservatoire National d’Art Dramatique de Paris (promo 2003) où il a eu notamment Dominique Valadié, Catherine Hiegel et François Regnault pour professeurs. Il joue à sa sortie auprès de plusieurs metteurs en scène comme Alain Françon (Ivanov), Lukas Hemleb (Titus Andronicus), Bernard Sobel (Don, mécènes et adorateurs d’Ostrovski), Jeanne Champagne (George Sand 1848), Sandrine Lanno (Plus loin que loin de Zinnie Harris au Théâtre du Rond-Point), Brigitte Jaques-Wajeman (La Chanson de Roland) ou Emmanuel Demarcy-Mota (Homme pour Homme de Brecht). Il participe aussi aux créations de jeunes compagnies comme Histoire d’amour (derniers chapitres) mise en scène de Matthieu Roy (TNS 2007), les Revenants d’Ibsen par Jonathan Châtel, à de nombreuses lectures (avec le Centre Culturel Français du Caire ou le Studio-Théâtre de la Comédie-Française) ainsi qu’à des performances ou expérimentations de la parole comme La Vie secrète amoureuse d’Ophélie d’après Berkoff au Centre d’Art de Chamarande. Il lira pour les Nuits Blanches la dernière pièce de Philippe Minyana. Il enregistre de nombreuses pièces à la radio (Corneille par Brigitte Jaques, La Décennie rouge de Michel Deutch). Talents Cannes 2007, il tourne au cinéma avec Philippe Garrel (Les Amants réguliers), Nicolas Klotz (Jeunesse d’Hamlet d’après Heiner Müller) et Bernard Stora pour la télévision. Laurent Charpentier intervient dans des classes d’option
Théâtre au lycée d’Evreux et écrit quelques articles dans des revues théâtrales ou artistiques ainsi qu’une pièce : A ce qu’on raconte (prix de la meilleure pièce didactique par la critique de Mexico) et des paroles pour le groupe pop-rock Saint-Sébastien.

Laïs Foulc, éclairagiste
a été formée au TNS en section Lumière (2002-2005) et à Paris X en Deug d’Arts du Spectacle. Elle travaille actuellement comme assistante à la mise en scène et régisseuse lumière de David Lescot pour Un homme en faillite (Théâtre de la Ville), et comme assistante lumière de Philippe Berthomé pour Le président, mise en scène de Blandine Savetier (Théâtre National de la Colline). En tant qu’éclairagiste, elle travaille avec le T.O.C. collectif de théâtre dont elle fait partie, avec Emilie Rousset sur L’étang de R. Walser (Festivals : TNS et Odéon- Berthiers) et Santiago de C. Soto (Montévidéo), avec Yves Adler sur La folie du jour (TGP St. Denis), avec Blandine Savetier sur Le Marin de Pessoa (TNB), avec Valérie Joly et Philippe Dormoy sur Silences, théâtre musical (38eme Rugissants), avec David Lescot sur L’Amélioration (théâtre du Rond-point), Christophe Triau, sur L’image ennemie (Les subsistances), avec Eléonora Rossi sur Meeting (Mains d’œuvre). Elle a aussi travaillé comme régisseuse lumière de la Salle Benoît XII au Festival IN d’Avignon en 2005 et 2006, pour l’opéra La Finta Giardiniera par Stephan Grögler (théâtre de St. Quentin en Yvelines, 2006), et au Théâtre B.M.Koltès de l’université Paris-X Nanterre de 2000 à 2002. Elle a suivi des stages lumière avec Daniel Lévy sur des spectacles de Frédéric Fisbach et avec Stéphanie Daniel sur Les spectacles de Stanislas Nordey.

Boris Nordmann, vidéaste
Titulaire d’une maîtrise de Biologie Cellulaire et écologie, et diplômé du Fresnoy, studio national. Il travaille actuellement notamment avec Sabine Ploux (Chercheur en analyse du traitement linguistique au CNRS) au projet Sémographe donner une forme à la Langue; pour les metteurs en scène Jeanne Champagne (projet Les gardiens du rêve) et Mirabelle Rousseau (spectacle Tarkos ma langue). Il a travaillé avec Kerwin Rolland (acousticien) pour Couchette#03 ; avec Jocelyn Faubert (Directeur du laboratoire de perception visuel à Montréal) ; pour Jeanny Hérault (Directeur du Laboratoire de l’information et du signal à Grenoble) ; pour Chantal Deckmyn (Architecte et sociologue à Lire la ville, Marseille) pour la conception d’un documentaire sur son activité à Aubagne ; avec le groupe Inasmet (Centre de recherche en biotechnologie au Pays Basque du sud) pour la création de Nuage, œuvre végétale comestible ; pour Mathieu Jacob (Physiologiste végétal) pour la création de sculptures végétales ; avec Yves Ubelmann (architecte et archéologue) et Alain Derobe (directeur photo en relief) pour la réalisation d’Une ligne geste photographique de 350mètres ; pour Olivier Bosson (vidéaste) et son film Entretient à la machine ; pour Sylvain Dubuisson (architecte) et avec Martine Scrive (Cité des sciences, Paris sud, professeur en stratégies interdisciplinaires) pour la conception d’un jardin vertical de mousses et de fleurs ; pour Nicolas Bulloz (Sculpteur aux monuments historiques) à la restauration de sculptures sur la cathédrale de Troyes.

Mirabelle Rousseau, metteur en scène
a été formée à l’Université de Paris-X, en maîtrise d’Arts du spectacle puis en DESS de Dramaturgie - mise en scène (promotion 2004). Elle est réserviste à l’Institut Nomade de la mise en scène. Elle travaille comme assistante à la mise en scène avec Bernard Sobel (Don, mécènes et adorateurs d’Ostrovski, Troïlus et Cressida de Shakespeare, Un homme est un homme de Brecht, Et qui pourrait tout raconter d’Eschyle et Guan Hanqinq, Le Juif de Malte de Marlowe et La Tragédie Optimiste de Vichnevski). Elle a été stagiaire à la mise en scène avec Jacques Rebotier et la Cie voQue sur Zoo Musique et Le Théâtre des Questions. Elle a travaillé avec le Collège de Pataphysique en régie-plateau et comme marionnettiste : Vive la France !, Franc Nohain et C. Terrasse, Les Silènes, H.-D. Grabbe, A. Jarry et C. Terrasse. Elle a été assistante à la mise en scène sur Stalingrad d’Eric Da Silva (Cie l’Emballage Théâtre) et sur Face au mur avec Julien Fiséra (Festival Frictions 2006) Elle a été stagiaire en machinerie plateau sur plusieurs spectacles de Roméo Castellucci depuis 2002. Mirabelle a participé à la création de la compagnie et travaille depuis à l’élaboration de tous les spectacles du T.O.C..




Historique de la compagnie


Compagnonnage du T.O.C. avec le Collectif 12
Avec le soutien de la DMDTS (2006 à 2008)
- Participation à la coordination du C12 d'octobre à décembre 06
- Création de petites formes hors les murs au cours de la saison 06/07
- Collaboration avec l’équipe artistique : La Porte du ciel, travail d’incruste et d’effraction, Mains d’œuvre (Octobre 2006) et La génération invisible, dans le cadre de Re :média, Confluences (mai 2007)

Ma langue, de Christophe Tarkos
Production Jeune Théâtre National, Odéon Théâtre de l’Europe,
Collectif 12 de Mantes la jolie, le TOC
- Festival Berthier’07 (juin 2007)
- Théâtre de la Vignette, Montpellier (octobre 2007)

Turandot ou le Congrès des blanchisseurs de B. Brecht

Maquette réalisée avec l'aide de la DMDTS et du
- Théâtre Antoine Vitez de l'Université d'Aix-en-Provence, janvier 2007
- Maison Heinrich Heine, juin 2007

Manifeste pour un théâtre Merz, de K. Schwitters
Répétitions au Collectif 12 en août et septembre 2006
- Naxos Bobine (décembre 2006)
- Festival Mix’o_Matos, Confort Moderne, Poitiers (juin 2007)

Je voudrais être légère, d'E. Jelinek
Répétitions au Collectif 12 en août et septembre 2006
- Naxos Bobine (décembre 2006)

Le suicide est-il une solution ?
Performance éclair à partir d'un suicide fictif d'Etienne Parc
- Festival Monarca # 1 - Galerie Artcore (juin 2006)
- Soirée d’inauguration du Festival « Nous n’irons pas à Avignon »
- Gare au Théâtre (juillet 2006)
- Naxos Bobine (décembre 2006)

Robert Guiscard, fragment d'une tragédie, d'H. von Kleist
- Théâtre BMK, Nanterre Paris-X (juin 2004)
- Carte blanche au Théâtre de Gennevilliers CDN (sept. 2005)
- Théâtre A. Vitez d'Aix en Provence (nov. 2005)
- Jeune Théâtre National (février 2006)
- Gare au théâtre (juillet 2006)

La composition comme explication de Gertrude Stein
- Concours de l'Institut Nomade, CNSAD (septembre 2005)
- Naxos Bobine (novembre 2005 et décembre 2006)
- Festival Jeunes zé jolie, Collectif 12 (décembre 2005)
- Musée d'Art Contemporain du Val de Marne (juillet 2006)

Mémoires d’un névropathe, de D.-P. Schreber
dans le cadre du projet 'la Zone grise', Cie Demesten Titip
- Espace Reverdy, bâtiment L, Paris X
- Festival Jeunes zé jolie, Collectif 12 (décembre 2005)
- Le Hublot, Festival sur l'Autobiographie (mai 2006)

Le Cut-up, performance à partir de Burroughs et Gysin
- Parvis et Hall de la Grande bibliothèque de Paris X (juin 2004)
- Festival des Baraques Foraines, Collectif 12 (juin 2004)
- Naxos Bobine (novembre 2005 et décembre 2006)
- Festival jeunes zé jolie (décembre 2005)
- CDN de Poitiers, théâtre en appartement (avril 2006)
- Musée d'Art Contemporain du Val de Marne (juillet 2006)
- Bibliothèque médiathèque de Vitry (juillet 2006)

Ecrits Bruts, de E. J. Hodinos, Annette et Samuel D.
Lecture pour l’exposition Désirs Bruts, collection Cérès Franco
- Galerie Municipale de Vitry-sur-Seine (février 2004)

Electrolution Revonique 23

Création à partir de Révolution Electronique de Burroughs
- Théâtre B.M.K. de Paris X (2003)
- Reprise au Collectif 12 de Mantes la jolie (octobre 2004)
- Sputnik 347 (novembre 2004)
- Carte blanche au Théâtre de Gennevilliers CDN (sept. 2005)
- Mains d’œuvre (octobre 2006)

Entrée Libre de R. Vitrac
Festival « Scènes Ouvertes 2 »
- Théâtre B.M.K. de Paris-X (juin et décembre 2002)

Les Tables tournantes de Jersey de V. Hugo

Pour le Printemps des Poètes et le Bicentenaire Victor Hugo
- Espace Reverdy et bâtiment DD’ de Paris-X
- Festival jeunes zé jolie (décembre 2005)

Le Jet de Sang - Lettre aux Recteurs des Universités Européennes
Extraits de l’Ombilic des Limbes d’A. Artaud
Lecture musicale, festival « Scènes Ouvertes 1 »
- Théâtre B.M.K. de Paris X (2001)
- Squat de Marcel, Paris 9ème (2001)
L’Exception et la Règle, de Brecht (2001)

Le Masque de la Mort Rouge de Poe (adaptation pour le Grand Guignol de la baronne de Nyevelt)
- Théâtre 347 cité Chaptal
- Festival d’Aurillac
- Théâtre B.M.K.
- Festival des Baraques Foraines
- Collectif 12 de Mantes la jolie
Atelier de recherche sur les ‘fous littéraires’, à partir de
textes d’Artaud, Eluard, Breton, Foucault, Duras, Laure
- Université de Paris-X Nanterre (1999)



Fiche Technique

Personnel demandé
1 régisseur Plateau
1 régisseur Son
1 régisseur Lumière
1 électricien
1 régisseur Vidéo

Coût pour une représentation
Hors taxes et défraiements : 4 500 €

Contacts

Chargé de production
Sabrina Fuchs :
06 84 22 80 38 / sab.fuchs@hotmail.fr
Régie générale : Esther Silber 06 29 45 55 77 / estsi_1453@hotmail.com
Description de l'espace
Plateau nu (pas de pendrillons, pas de fond).
Dispositif de type frontal, une aire de jeu centrale, constituée d’un écran gris (2,60/3,10), d’un sol en lino blanc (2,60/3,10), d’une table et d’une chaise blanche : un dispositif conférencier.
Les projections vidéo sont réalisées en deux points, la première en projection sur tout le mur du lointain et une partie de l’aire de jeu, la deuxième en rétroprojection sur le petit écran.

A fournir par le lieu


Plateau
-1 table blanche (250 x 110 x 75)
-1 chaise blanche
-2 tubes (2 x 310)
-1 tube (5 m)
-guinde pour sous percher l’écran

Son
Console :
-1 x console numérique (type Yamaha)
8 départs
12 entrées
1 sortie stéréo
Sources :
-1 micro HF cravate
-1 PZM
-2 capsules micro cardioïde
-1 lecteur CD auto-pause
Diffusion :
Multi diffusion
-4 sub : 2 sous le gradin, 2 à l’avant scène jardin et cour.
-8 enceintes (type MTD 112) : 2 à jardin et cour du milieu du gradin, 2 derrière les spectateurs, 2 à la face, 2 sous la table.

Vidéo
Diffusion :
-1 vidéoprojecteur 6000 lumens DLP 16/9éme muni d’une optique grand angle pour projection sur tout l’espace scènique, càd à 2m du premier rang mur à mur de jardin à cour. Emplacement du projecteur au dessus du dernier rang des gradins.
-1 vidéoprojecteur DLP 2000 lumens pour la rétroprojection. Projecteur au sol.
-Deux shutter Vidéo
Sources :
-2PC avec flash (sortie VGA)
- 2 câbles VGA
-2 PC windows ou MacOS
Configuration minimum :
Matériel / 1Go de RAM, carte vidéo puissante supportant la résolution native du projecteur, sortie VGA disponible pour affichage en régie pendant connection au projecteur,
Logiciel / Système en parfait état de marche, dernier Flashplayer, Quick time pro.
-L’un des deux ordinateurs doit avoir un disque dur rapide (7200t/min). S’il s’agit de portables, un disque dur externe Firewire est à prévoir.
-2 câbles VGA

Lumière
20 fluos (type Julia 120 cm, graduables, lumière du jour)
un digi fluo
8 horizïodes 1 kw
3 découpes 614sx
2 découpes 613 sx
2 découpes 714 sx
1 découpe 713 sx
1 découpe HMI 933
1 découpe HMI 914
1 pc 2 KW
3 pieds de projecteurs
Gélatines (pour les horizïodes)
257 lee, 201 lee